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Compte Rendu
Nice 1-1 Lyon
En marge d'une journée historique et dans une course toujours plus passionnante à l'Europe, l'OGC Nice a partagé les points avec l'Olympique Lyonnais (1-1). A Nice, Stade du Ray, OGC Nice et Olympique Lyonnais 1 à 1 (mi-temps 0-0)
15.968 spectateurs
Arbitre : M. Turpin
Buts : (47e pen) pour Nice ; Grenier (76e) pour Lyon
Avertissements : Traoré, Kolodziejczak, Civelli à Nice ; Benzia, Koné, Grenier, Gonalons à Lyon
Expulsion : Gonalons (e) à Lyon
Nice : Ospina ? G.Puel, Civelli, Pejcinovic, Kolodziejczak ? Abriel, Digard (cap.) ? Bosetti (Pied, 69e), Traoré (Diaz, 76e), Bauthéac (Bahoken, 88e) - Cvitanich
Lyon : Lopes ? Réveillère, Koné, Bisevac, Dabo ? Gonalons (cap.), Malbranque (Lisandro, 68e) ? Benzia (Lacazette, 46e), Grenier, Gourcuff ? Gomis (Ferri, 80e)A tout jamais, le 19 mai 2013 restera une date mémorable dans l'histoire de notre bon vieux Gym. A de nombreux titres, au-delà même d'un match spectaculaire contre l'Olympique Lyonnais (1-1).
Initialement programmé au samedi soir, le choc a finalement échappé à la pluie diluvienne pour se jouer sous un ciel bleu retrouvé. Comme si le Ray, fidèle à son atypisme, avait décidé de s'offrir un final rien que pour lui.
Une fête également marquée par la présentation du nouveau logo en grandes pompes. De manière symbolique, les U15 du club ont déployé au centre du terrain une grande bâche frappée du nouveau blason, sous les acclamations des 15 968 spectateurs présents. Dans la foulée, l'emblématique Tchoa, capo de la Populaire Sud, enflammait le Ray à quelques minutes du coup d'envoi.
Lille tenu en échec à Montpellier (1-1), les Aiglons avaient un coup à faire en recevant le troisième de Ligue 1. Vêtus du maillot de la saison 2013/14 en avant-première, ils attaquaient la rencontre avec beaucoup d'intensité. Acculés dans leur camp mais solides, Didier Digard et les siens se procuraient les premières opportunités de la rencontre. Dont un centre du capitaine pour Bosetti, trop court de quelques centimètres. Gourcuff répondait sans grand danger.
Equilibrée, la première période s'achevait sans le moindre but. A la pause, le Ray recevait la visite surprise de l'immense Pablito Rodriguez, idole du club entre 1998 et 2003. Venu spécialement d'Argentine, le gaucher recevait une ovation méritée du public.
L'ancien meneur de jeu a-t-il porté bonheur au Gym ? Toujours est-il que dès le retour des vestiaires, Cvitanich était fauché dans la surface par Koné. Le numéro 12 transformait son penalty pleine lucarne, inscrivant son 18e but en Ligue 1 (1-0, 47e).
Le Ray bouillonnant, Nice occupait provisoirement la quatrième place du championnat. Les hommes de Claude Puel poussaient pour faire le break et Maxime Gonalons laissait ses coéquipiers à dix. Un scenario parfait que Clément Grenier s'est fait le plaisir de gâcher d'un coup franc des 35 mètres, pleine lucarne (1-1, 76e).
Malgré toute leur bonne volonté, les entrées successives de Pied, Diaz et Bahoken, ou encore la balle de match de Super Dario à la 90e, le score n'évoluera pas.
Auteurs d'une saison historique, Renato Civelli et sa bande ont une dernière opportunité de rêver d'Europe. En déplacement à Ajaccio la semaine prochaine, ils devront en même temps espérer un faux pas de Lille contre Saint-Etienne.
15.968 spectateurs
Arbitre : M. Turpin
Buts : (47e pen) pour Nice ; Grenier (76e) pour Lyon
Avertissements : Traoré, Kolodziejczak, Civelli à Nice ; Benzia, Koné, Grenier, Gonalons à Lyon
Expulsion : Gonalons (e) à Lyon
Nice : Ospina ? G.Puel, Civelli, Pejcinovic, Kolodziejczak ? Abriel, Digard (cap.) ? Bosetti (Pied, 69e), Traoré (Diaz, 76e), Bauthéac (Bahoken, 88e) - Cvitanich
Lyon : Lopes ? Réveillère, Koné, Bisevac, Dabo ? Gonalons (cap.), Malbranque (Lisandro, 68e) ? Benzia (Lacazette, 46e), Grenier, Gourcuff ? Gomis (Ferri, 80e)A tout jamais, le 19 mai 2013 restera une date mémorable dans l'histoire de notre bon vieux Gym. A de nombreux titres, au-delà même d'un match spectaculaire contre l'Olympique Lyonnais (1-1).
Initialement programmé au samedi soir, le choc a finalement échappé à la pluie diluvienne pour se jouer sous un ciel bleu retrouvé. Comme si le Ray, fidèle à son atypisme, avait décidé de s'offrir un final rien que pour lui.
Une fête également marquée par la présentation du nouveau logo en grandes pompes. De manière symbolique, les U15 du club ont déployé au centre du terrain une grande bâche frappée du nouveau blason, sous les acclamations des 15 968 spectateurs présents. Dans la foulée, l'emblématique Tchoa, capo de la Populaire Sud, enflammait le Ray à quelques minutes du coup d'envoi.
Lille tenu en échec à Montpellier (1-1), les Aiglons avaient un coup à faire en recevant le troisième de Ligue 1. Vêtus du maillot de la saison 2013/14 en avant-première, ils attaquaient la rencontre avec beaucoup d'intensité. Acculés dans leur camp mais solides, Didier Digard et les siens se procuraient les premières opportunités de la rencontre. Dont un centre du capitaine pour Bosetti, trop court de quelques centimètres. Gourcuff répondait sans grand danger.
Equilibrée, la première période s'achevait sans le moindre but. A la pause, le Ray recevait la visite surprise de l'immense Pablito Rodriguez, idole du club entre 1998 et 2003. Venu spécialement d'Argentine, le gaucher recevait une ovation méritée du public.
L'ancien meneur de jeu a-t-il porté bonheur au Gym ? Toujours est-il que dès le retour des vestiaires, Cvitanich était fauché dans la surface par Koné. Le numéro 12 transformait son penalty pleine lucarne, inscrivant son 18e but en Ligue 1 (1-0, 47e).
Le Ray bouillonnant, Nice occupait provisoirement la quatrième place du championnat. Les hommes de Claude Puel poussaient pour faire le break et Maxime Gonalons laissait ses coéquipiers à dix. Un scenario parfait que Clément Grenier s'est fait le plaisir de gâcher d'un coup franc des 35 mètres, pleine lucarne (1-1, 76e).
Malgré toute leur bonne volonté, les entrées successives de Pied, Diaz et Bahoken, ou encore la balle de match de Super Dario à la 90e, le score n'évoluera pas.
Auteurs d'une saison historique, Renato Civelli et sa bande ont une dernière opportunité de rêver d'Europe. En déplacement à Ajaccio la semaine prochaine, ils devront en même temps espérer un faux pas de Lille contre Saint-Etienne.