Interview
Dario Cvitanich : « La victoire d'abord »
Influent et efficace, l'attaquant argentin a inscrit son cinquième but en dix rencontres de championnat. Super Dario estime pourtant qu'il peut « encore mieux faire ».Dario, ce soir, tu as fait trembler les filets pour la cinquième fois de la saison...
Je suis ravi parce que celui-ci amène la victoire. J'aime marquer des buts, mais surtout lorsqu'ils sont décisifs.
Claude Puel estime que si tu peux encore progresser, tu as réussi ton meilleur match...
Peut-être, oui. Je sais que je peux encore progresser, surtout physiquement. J'ai conscience de ne pas être encore au top physiquement, sachant que je n'ai pas coupé entre Boca et l'Ajax. Je suis lucide : je sais que je peux encore mieux faire. Mais je retiens d'abord la victoire, car elle était très importante. Le reste viendra petit à petit.
Que penses-tu d'Eysseric, Pied, Bauthéac et Meriem, tes fers de lance du milieu ?
A tour de rôle, ils forment un très bon trio. Ce sont des joueurs techniques, rapides, ils ont les qualités pour me mettre dans des bonnes dispositions. Nous avons une défense très solide, un milieu rapide et j'ai des camarades de qualité en attaque. On est encore une jeune équipe et ensemble, on peut faire des choses...
La lutte avec certains grands gabarits de Ligue 1 n'est-elle pas compliquée ?
C'est un championnat très physique, encore plus que l'hollandais. Je sais que je suis un attaquant un peu atypique, pas très grand. Mais j'essaye de jouer sur ma rapidité, mon efficacité. C'est mon style. J'essaye d'être là, à l'affût. Exploiter la moindre petite occasion.
Tu as reçu une belle ovation du public...
Ils m'ont beaucoup aidé à ne pas languir l'Argentine, ils m'ont bien accueilli. J'apprécie leur passion, leur mentalité. Je tiens à les remercier.
On se dit que ton nombre de fans sur Twitter n'a pas fini d'augmenter...
(Il se marre) Il faudrait que je commence à écrire en français. Parce que je vois que même vous, la presse, reprenez mes publications ! Allez, je le ferai cette semaine...
Je suis ravi parce que celui-ci amène la victoire. J'aime marquer des buts, mais surtout lorsqu'ils sont décisifs.
Claude Puel estime que si tu peux encore progresser, tu as réussi ton meilleur match...
Peut-être, oui. Je sais que je peux encore progresser, surtout physiquement. J'ai conscience de ne pas être encore au top physiquement, sachant que je n'ai pas coupé entre Boca et l'Ajax. Je suis lucide : je sais que je peux encore mieux faire. Mais je retiens d'abord la victoire, car elle était très importante. Le reste viendra petit à petit.
Que penses-tu d'Eysseric, Pied, Bauthéac et Meriem, tes fers de lance du milieu ?
A tour de rôle, ils forment un très bon trio. Ce sont des joueurs techniques, rapides, ils ont les qualités pour me mettre dans des bonnes dispositions. Nous avons une défense très solide, un milieu rapide et j'ai des camarades de qualité en attaque. On est encore une jeune équipe et ensemble, on peut faire des choses...
La lutte avec certains grands gabarits de Ligue 1 n'est-elle pas compliquée ?
C'est un championnat très physique, encore plus que l'hollandais. Je sais que je suis un attaquant un peu atypique, pas très grand. Mais j'essaye de jouer sur ma rapidité, mon efficacité. C'est mon style. J'essaye d'être là, à l'affût. Exploiter la moindre petite occasion.
Tu as reçu une belle ovation du public...
Ils m'ont beaucoup aidé à ne pas languir l'Argentine, ils m'ont bien accueilli. J'apprécie leur passion, leur mentalité. Je tiens à les remercier.
On se dit que ton nombre de fans sur Twitter n'a pas fini d'augmenter...
(Il se marre) Il faudrait que je commence à écrire en français. Parce que je vois que même vous, la presse, reprenez mes publications ! Allez, je le ferai cette semaine...
