Interview
Moussa M'Bow : « Un vrai professionnel »
Encore méconnu du grand public, le défenseur sénégalais a signé son premier contrat professionnel à la trêve. Impérial sur le terrain et exemplaire dans l'attitude, le joueur de 20 ans ? devenu capitaine de la réserve ? participe à sa deuxième préparation au sein du groupe pro.Moussa, peux-tu te présenter ?
J'ai 20 ans et j'entame ma troisième saison à l'OGC Nice, où je suis défenseur central. J'étais pensionnaire du centre de formation de Dakar avant de jouer à l'Olympique de Marseille pendant trois mois. Mon grand frère, Pape Daouda, s'y trouve d'ailleurs toujours. Nous jouons au même poste, même si je peux aussi évoluer un cran plus haut. Mon profil ? Je suis dur sur l'homme, j'ai un jeu de tête assez bon et je suis costaud mentalement, toujours à encourager mes coéquipiers.
Tu vis actuellement ta deuxième préparation au sein du groupe professionnel...
J'ai pris quelques repères et si ça c'était déjà bien déroulé l'an passé, je me sens encore mieux aujourd'hui. Le coach ? Ça se passe très bien, il insiste beaucoup sur la qualité, et exige un maximum de concentration tout au long de l'entraînement.
Quel regard portes-tu sur tes deux premières années niçoises ?
J'ai déjà beaucoup appris. J'éprouvais quelques difficultés à mon arrivée mais je me suis accroché. On en est même venu à me confier le brassard avec la réserve. Je l'ai pris comme une responsabilité importante.
« C'était mon rêve »
En mai dernier, tu as par ailleurs signé ton premier contrat professionnel...
C'était mon rêve, et le réaliser m'a fait beaucoup de bien. Nous sommes tellement de jeunes Africains à rêver de cela... Maintenant, j'ai bien conscience qu'il ne s'agit que du début et que le plus dur reste à venir.
En quoi va-t-il consister ?
Je veux prouver aux dirigeants qu'ils ne se sont pas trompés en m'accorder leur confiance. Leur montrer que je suis un vrai professionnel sur, et en-dehors du terrain. Un joueur responsable respecte les consignes de son coach, ses dirigeants et constitue un exemple pour les jeunes du centre de formation.

Ta vision du rôle de défenseur central ?
Il faut d'abord penser à bien défendre, remporter ses duels puis réussir ses passes vers l'avant le plus vite possible.
A ton poste, la concurrence est aussi rude qu'enrichissante...
Elle me motive et me fait progresser. J'ai la chance d'évoluer aux côtés de défenseurs expérimentés jusqu'au niveau international. Et pour l'anecdote, j'ai un peu côtoyé Renato (Civelli) à Marseille. Le retrouver ici, ça m'a facilité la tâche, il m'a beaucoup conseillé. Il s'est comporté comme un grand frère pour moi.
Tu as figuré plusieurs fois sur les feuilles de match, sans jamais encore goûter à la Ligue 1. Quels sont tes objectifs ?
J'ai bien sûr hâte de faire mes débuts en L1 et d'y disputer un maximum de matchs. Mais mon premier objectif reste de réussir une bonne préparation, et poursuivre ma progression. Un projet est en place au club, et il donne envie. J'espère pouvoir y contribuer.
J'ai 20 ans et j'entame ma troisième saison à l'OGC Nice, où je suis défenseur central. J'étais pensionnaire du centre de formation de Dakar avant de jouer à l'Olympique de Marseille pendant trois mois. Mon grand frère, Pape Daouda, s'y trouve d'ailleurs toujours. Nous jouons au même poste, même si je peux aussi évoluer un cran plus haut. Mon profil ? Je suis dur sur l'homme, j'ai un jeu de tête assez bon et je suis costaud mentalement, toujours à encourager mes coéquipiers.
Tu vis actuellement ta deuxième préparation au sein du groupe professionnel...
J'ai pris quelques repères et si ça c'était déjà bien déroulé l'an passé, je me sens encore mieux aujourd'hui. Le coach ? Ça se passe très bien, il insiste beaucoup sur la qualité, et exige un maximum de concentration tout au long de l'entraînement.
Quel regard portes-tu sur tes deux premières années niçoises ?
J'ai déjà beaucoup appris. J'éprouvais quelques difficultés à mon arrivée mais je me suis accroché. On en est même venu à me confier le brassard avec la réserve. Je l'ai pris comme une responsabilité importante.
« C'était mon rêve »
En mai dernier, tu as par ailleurs signé ton premier contrat professionnel...
C'était mon rêve, et le réaliser m'a fait beaucoup de bien. Nous sommes tellement de jeunes Africains à rêver de cela... Maintenant, j'ai bien conscience qu'il ne s'agit que du début et que le plus dur reste à venir.
En quoi va-t-il consister ?
Je veux prouver aux dirigeants qu'ils ne se sont pas trompés en m'accorder leur confiance. Leur montrer que je suis un vrai professionnel sur, et en-dehors du terrain. Un joueur responsable respecte les consignes de son coach, ses dirigeants et constitue un exemple pour les jeunes du centre de formation.

Ta vision du rôle de défenseur central ?
Il faut d'abord penser à bien défendre, remporter ses duels puis réussir ses passes vers l'avant le plus vite possible.
A ton poste, la concurrence est aussi rude qu'enrichissante...
Elle me motive et me fait progresser. J'ai la chance d'évoluer aux côtés de défenseurs expérimentés jusqu'au niveau international. Et pour l'anecdote, j'ai un peu côtoyé Renato (Civelli) à Marseille. Le retrouver ici, ça m'a facilité la tâche, il m'a beaucoup conseillé. Il s'est comporté comme un grand frère pour moi.
Tu as figuré plusieurs fois sur les feuilles de match, sans jamais encore goûter à la Ligue 1. Quels sont tes objectifs ?
J'ai bien sûr hâte de faire mes débuts en L1 et d'y disputer un maximum de matchs. Mais mon premier objectif reste de réussir une bonne préparation, et poursuivre ma progression. Un projet est en place au club, et il donne envie. J'espère pouvoir y contribuer.
