Interview
Joris Delle : « Un blason à défendre »
Formé au FC Metz, Joris Delle (22 ans) rejoint l'OGC Nice. Le gardien international espoir s'est engagé avec le Gym pour quatre saisons.Joris, tu viens de t'engager avec le Gym pour quatre saisons. Ton sentiment ?
Je suis content de rejoindre un club comme l'OGC Nice. Il existe ici un projet sportif solide, ambitieux. Le club est en évolution et j'ai envie de l'accompagner. Je pense qu'il s'agissait du meilleur choix pour ma progression. Après huit années à Metz, j'avais aussi envie de découvrir autre chose.
Tu avais d'autant plus de choix que tu arrivais en fin de contrat avec Metz...
C'est vrai, mais Nice a été le premier club à me contacter. Et les dirigeants ont toujours eu un discours cohérent, honnête avec moi. J'ai apprécié.
Quelle image avais-tu du club ?
D'abord celle d'un public fervent, d'une ambiance chaude. Le Sud, quoi. Et celle d'une certaine mentalité, d'un blason à défendre. Oui, un club familial avec des joueurs combatifs. Il a joué le maintien ces trois dernières saisons, c'est vrai, mais il connaît la Ligue 1 et sait gérer ces situations. Puis le championnat est serré ; beaucoup d'équipes jouaient encore le maintien à la dernière journée...
Quel est le deal avec ton nouveau club ?
Le coach a annoncé que je pars numéro 1 bis. Il va falloir que je m'adapte, et que je me fasse aux premiers entraînements avec des joueurs de Ligue 1. Pour l'heure, je connais Julien Berthomier (coéquipier en sélection de jeunes) et Mahamane Traoré (prêté deux saisons à Metz). Le reste, surtout de nom. Quant à Lionel Letizi, j'allais le voir jouer quand j'avais huit ans. Il gardait les buts messins à la belle époque...

Comment appréhendes-tu tes débuts en Ligue 1 ?
Je n'ai pas peur. En Equipe de France, j'ai côtoyé beaucoup de garçons qui jouent à ce niveau. Je pense savoir dans quoi je mets les pieds.
« La concurrence ne me desservira jamais »
L'arrivée de jeunes joueurs compilée aux départs d'expérimentés (Hellebuyck, Sablé, Faé, Clerc, ?) rajeunit beaucoup l'effectif...
Nous sommes jeunes mais Eric (Bauthéac) ou Romain (Genevois) ont déjà beaucoup de matchs au compteur. Ils ont engrangé de l'expérience. Après, la jeunesse du groupe est toujours bonne pour l'ambiance, l'intégration. Puis le décalage avec des joueurs de 30 ans ou plus n'est pas non plus énorme...
Avec David Ospina, Raul Fernandez et le jeune Mouez Hassen, tu te retrouves aux côtés de gardiens internationaux, comme toi...
J'ai toujours été confronté à une grosse concurrence. Mais ça fait partie du quotidien et ça m'apporte beaucoup. Je n'ai pas peur ; ça ne me desservira jamais.
Que savais-tu de la ville et de la région ?
J'étais déjà venu ici en vacances, avec mes parents. Et aujourd'hui, j'arrive à faire le trajet hôtel-centre d'entraînement. C'est déjà bien (rires). Je vais déjà m'atteler à bien connaître le club ; je prendrai ensuite le temps de découvrir la ville.
Je suis content de rejoindre un club comme l'OGC Nice. Il existe ici un projet sportif solide, ambitieux. Le club est en évolution et j'ai envie de l'accompagner. Je pense qu'il s'agissait du meilleur choix pour ma progression. Après huit années à Metz, j'avais aussi envie de découvrir autre chose.
Tu avais d'autant plus de choix que tu arrivais en fin de contrat avec Metz...
C'est vrai, mais Nice a été le premier club à me contacter. Et les dirigeants ont toujours eu un discours cohérent, honnête avec moi. J'ai apprécié.
Quelle image avais-tu du club ?
D'abord celle d'un public fervent, d'une ambiance chaude. Le Sud, quoi. Et celle d'une certaine mentalité, d'un blason à défendre. Oui, un club familial avec des joueurs combatifs. Il a joué le maintien ces trois dernières saisons, c'est vrai, mais il connaît la Ligue 1 et sait gérer ces situations. Puis le championnat est serré ; beaucoup d'équipes jouaient encore le maintien à la dernière journée...
Quel est le deal avec ton nouveau club ?
Le coach a annoncé que je pars numéro 1 bis. Il va falloir que je m'adapte, et que je me fasse aux premiers entraînements avec des joueurs de Ligue 1. Pour l'heure, je connais Julien Berthomier (coéquipier en sélection de jeunes) et Mahamane Traoré (prêté deux saisons à Metz). Le reste, surtout de nom. Quant à Lionel Letizi, j'allais le voir jouer quand j'avais huit ans. Il gardait les buts messins à la belle époque...

Comment appréhendes-tu tes débuts en Ligue 1 ?
Je n'ai pas peur. En Equipe de France, j'ai côtoyé beaucoup de garçons qui jouent à ce niveau. Je pense savoir dans quoi je mets les pieds.
« La concurrence ne me desservira jamais »
L'arrivée de jeunes joueurs compilée aux départs d'expérimentés (Hellebuyck, Sablé, Faé, Clerc, ?) rajeunit beaucoup l'effectif...
Nous sommes jeunes mais Eric (Bauthéac) ou Romain (Genevois) ont déjà beaucoup de matchs au compteur. Ils ont engrangé de l'expérience. Après, la jeunesse du groupe est toujours bonne pour l'ambiance, l'intégration. Puis le décalage avec des joueurs de 30 ans ou plus n'est pas non plus énorme...
Avec David Ospina, Raul Fernandez et le jeune Mouez Hassen, tu te retrouves aux côtés de gardiens internationaux, comme toi...
J'ai toujours été confronté à une grosse concurrence. Mais ça fait partie du quotidien et ça m'apporte beaucoup. Je n'ai pas peur ; ça ne me desservira jamais.
Que savais-tu de la ville et de la région ?
J'étais déjà venu ici en vacances, avec mes parents. Et aujourd'hui, j'arrive à faire le trajet hôtel-centre d'entraînement. C'est déjà bien (rires). Je vais déjà m'atteler à bien connaître le club ; je prendrai ensuite le temps de découvrir la ville.
