Interview
Eric Roy : « La solution est collective »
Déçu l'entraîneur niçois refuse de céder au catastrophisme. Il considère que son équipe se bonifiera au fil des matchs, tout en regrettant un manque de réalisme dans les derniers geste.Eric, êtes-vous déçu ce soir ?
Du résultat forcément. Sur le plan comptable ce n'est pas une bonne opération. Ca fait déjà beaucoup de déceptions cette saison. On n'arrive pas à concrétiser durant nos temps forts. Nous avons eu des moments intéressants où nous avons produit du jeu, ce n'était pas évident face à une équipe de Brest bien organisée. On a centré 23 fois dans le match mais ça n'a pas suffisamment débouché sur des occasions dangereuses. On a fait les mauvais choix dans les derniers gestes, dernière ou avant-dernière passe. C'est une soirée difficile.
Avez-vous l'impression que ça ne veut pas sourire ?
Il y a un peu de ça, mais il ne faut pas se cacher derrière une fatalité. Si ça ne sourit pas, il faut en faire plus. Et faire mieux. On essaye mais nous n'y parvenons pas encore. Certaines équipes gagnent des matchs sans en faire plus, tant mieux pour elles, mais de notre côté nous ne sommes pas dans une bonne spirale. C'est collectivement qu'on trouvera la solution.
Etes-vous inquiet ?
Deux points en quatre matchs ce n'est pas une bonne entame de saison. Je serais inquiet si mon équipe n'avait pas d'envie ou de qualité, mais ce n'est pas le cas. Mais il faut maintenant concrétiser ça au tableau d'affichage.
Xavier Pentecôte ?
On sait qu'il manque de rythme. Notre effectif sera stabilisé la semaine prochaine avec la fin du mercato, et compétitif à la fin septembre lorsque les automatismes seront là. Mais d'ici là, il va falloir prendre des points, car on n'en a pas beaucoup dans l'escarcelle jusqu'à présent. Il faudra revenir de Montpellier avec quelque chose, et ça ne sera pas une mince affaire.
Du résultat forcément. Sur le plan comptable ce n'est pas une bonne opération. Ca fait déjà beaucoup de déceptions cette saison. On n'arrive pas à concrétiser durant nos temps forts. Nous avons eu des moments intéressants où nous avons produit du jeu, ce n'était pas évident face à une équipe de Brest bien organisée. On a centré 23 fois dans le match mais ça n'a pas suffisamment débouché sur des occasions dangereuses. On a fait les mauvais choix dans les derniers gestes, dernière ou avant-dernière passe. C'est une soirée difficile.
Avez-vous l'impression que ça ne veut pas sourire ?
Il y a un peu de ça, mais il ne faut pas se cacher derrière une fatalité. Si ça ne sourit pas, il faut en faire plus. Et faire mieux. On essaye mais nous n'y parvenons pas encore. Certaines équipes gagnent des matchs sans en faire plus, tant mieux pour elles, mais de notre côté nous ne sommes pas dans une bonne spirale. C'est collectivement qu'on trouvera la solution.
Etes-vous inquiet ?
Deux points en quatre matchs ce n'est pas une bonne entame de saison. Je serais inquiet si mon équipe n'avait pas d'envie ou de qualité, mais ce n'est pas le cas. Mais il faut maintenant concrétiser ça au tableau d'affichage.
Xavier Pentecôte ?
On sait qu'il manque de rythme. Notre effectif sera stabilisé la semaine prochaine avec la fin du mercato, et compétitif à la fin septembre lorsque les automatismes seront là. Mais d'ici là, il va falloir prendre des points, car on n'en a pas beaucoup dans l'escarcelle jusqu'à présent. Il faudra revenir de Montpellier avec quelque chose, et ça ne sera pas une mince affaire.
