Aiglon du mois
Eric Mouloungui Aiglon de Mai
Il a survolé les débats. Pour la troisième fois cette saison, vous avez choisi Eric Mouloungui comme meilleur Aiglon du mois.Et de trois ! Après les mois de septembre et mars, Eric Mouloungui a de nouveau recueilli les suffrages du public niçois. Vous l'avez en effet élu Aiglon du mois de mai. Il faut dire que le Gabonais a terminé la saison en trombe : deux buts en avril, trois en mai. Buteur à Valenciennes malgré la défaite mais surtout auteur d'un doublé contre Lorient, il est assurément l'un des grands artisans du maintien de l'OGC Nice en Ligue 1.
Après deux saisons en demi-teinte (46 matches, 6 buts), l'ex-Strasbourgeois s'est imposé cette saison comme le fer de lance de l'attaque niçoise. Son coup de rein et ses coups de génie (Ah ! Ce but contre Auxerre?) en ont fait un homme fort du collectif d'Eric Roy. Après avoir longtemps été relégué sur les flancs, c'est en pointe qu'il s'est affirmé ces derniers mois.
La naissance de son fils a transformé l'homme qui, à n'en pas douter, sera à 27 ans le leader de l'attaque niçoise l'année prochaine. C'est en tout cas, et pour la première fois de sa carrière azuréenne, plein de confiance qu'il rattaquera l'entraînement dès la fin du mois de juin.
Avec plus des trois quarts des suffrages exprimés, Eric Mouloungui a survolé l'élection et supplante Didier Digard, loin derrière. Sur la troisième marche du podium, le retour d'enfer de David Hellebuyck méritait bien une citation.
Après deux saisons en demi-teinte (46 matches, 6 buts), l'ex-Strasbourgeois s'est imposé cette saison comme le fer de lance de l'attaque niçoise. Son coup de rein et ses coups de génie (Ah ! Ce but contre Auxerre?) en ont fait un homme fort du collectif d'Eric Roy. Après avoir longtemps été relégué sur les flancs, c'est en pointe qu'il s'est affirmé ces derniers mois.
La naissance de son fils a transformé l'homme qui, à n'en pas douter, sera à 27 ans le leader de l'attaque niçoise l'année prochaine. C'est en tout cas, et pour la première fois de sa carrière azuréenne, plein de confiance qu'il rattaquera l'entraînement dès la fin du mois de juin.
Avec plus des trois quarts des suffrages exprimés, Eric Mouloungui a survolé l'élection et supplante Didier Digard, loin derrière. Sur la troisième marche du podium, le retour d'enfer de David Hellebuyck méritait bien une citation.
