Billetterie
Boutique
Interview
Eric Mouloungui: « Finir le plus haut possible ! »
L'attaquant gabonais de l'OGC Nice est en stage à Bordeaux avec sa sélection nationale. Il est revenu pour nous sur la bonne série en cours des Aiglons et sur sa confiance retrouvée au sein du groupe rouge et noir.Eric, comment se passe ton stage avec la sélection gabonaise ?
Très bien pour le moment. Comme à chaque convocation, je suis très heureux d'être en sélection et de représenter mon pays. La pression n'est pas trop forte car il ne s'agit que de matchs amicaux, mais ils vont nous permettre de préparer la CAN, que notre pays organisera l'année prochaine.
Cette trêve est-elle aussi un moyen de casser la routine du championnat ?
Effectivement, c'est aussi une bulle d'oxygène. Le quotidien du championnat de France n'est pas toujours facile, surtout cette saison. J'en profite pour recharger les batteries, mais dans un coin de ma tête, je pense bien sûr au maintien. Je ne lâche jamais cet objectif et je reste focalisé sur le club.
Le dernier match de championnat à fait du bien à tout le groupe...
Il n'y a qu'à voir notre réaction au coup de sifflet final. On est très bien revenu dans une rencontre mal engagée. Ce que je retiens, c'est que nous n'avons pas perdu et cela est important au classement. Pour le maintien, mais aussi pour garder Toulouse à distance. Nous regardons derrière, mais aussi devant. Il faut que nous gardions le maximum d'adversaires à notre portée pour finir le plus haut possible.
Cette saison, l'attaque niçoise a souffert de nombreuses critiques. Étaient-elles justifiées ?
Pas toujours. On a beaucoup pointée du doigt nos problèmes offensifs, mais même si nous n'avons pas beaucoup d'occasion mais qu'elles nous suffisent pour gagner un match, je signe tout de suite. Le point positif pour les attaquants, c'est de se procurer des situations. C'est quand tu n'as pas d'occasion qu'il faut commencer à te poser des questions...
« Dix matches pour sauver le club »
Justement, sur un plan personnel, tu as douté ?
J'ai surtout beaucoup travaillé. Je joue pour être décisif pour mon équipe. Je suis conscient que je suis capable de faire beaucoup mieux. Je dois surtout gagner en régularité, c'est mon gros point faible. Mon but est d'être important pour l'équipe et lui faire gagner des matchs. En début de saison, je m'étais fixé un objectif de 10 buts toutes compétitions confondues, et c'est tout à fait réalisable. Mais si je ne marque pas, comme à Toulouse, et que je signe une passe décisive, c'est tout aussi important à mes yeux.
Quel regard portes-tu sur cette dernière ligne droite qui s'annonce palpitante ?
C'est vrai que cela risque d'être serré jusqu'au bout car personne ne veut lâcher du terrain. C'est peut-être une phrase un peu « bête » mais nous prenons match après match car notre championnat est compliqué et ne nous permet pas de voir plus loin. Il nous reste dix matches pour sauver le club. À nous de prendre des points rapidement afin de, pourquoi pas, finir le championnat de façon plus détendue. Pour cela, il nous faut être intraitable à domicile, quelque soit notre adversaire.
Très bien pour le moment. Comme à chaque convocation, je suis très heureux d'être en sélection et de représenter mon pays. La pression n'est pas trop forte car il ne s'agit que de matchs amicaux, mais ils vont nous permettre de préparer la CAN, que notre pays organisera l'année prochaine.
Cette trêve est-elle aussi un moyen de casser la routine du championnat ?
Effectivement, c'est aussi une bulle d'oxygène. Le quotidien du championnat de France n'est pas toujours facile, surtout cette saison. J'en profite pour recharger les batteries, mais dans un coin de ma tête, je pense bien sûr au maintien. Je ne lâche jamais cet objectif et je reste focalisé sur le club.
Le dernier match de championnat à fait du bien à tout le groupe...
Il n'y a qu'à voir notre réaction au coup de sifflet final. On est très bien revenu dans une rencontre mal engagée. Ce que je retiens, c'est que nous n'avons pas perdu et cela est important au classement. Pour le maintien, mais aussi pour garder Toulouse à distance. Nous regardons derrière, mais aussi devant. Il faut que nous gardions le maximum d'adversaires à notre portée pour finir le plus haut possible.
Cette saison, l'attaque niçoise a souffert de nombreuses critiques. Étaient-elles justifiées ?
Pas toujours. On a beaucoup pointée du doigt nos problèmes offensifs, mais même si nous n'avons pas beaucoup d'occasion mais qu'elles nous suffisent pour gagner un match, je signe tout de suite. Le point positif pour les attaquants, c'est de se procurer des situations. C'est quand tu n'as pas d'occasion qu'il faut commencer à te poser des questions...
« Dix matches pour sauver le club »
Justement, sur un plan personnel, tu as douté ?
J'ai surtout beaucoup travaillé. Je joue pour être décisif pour mon équipe. Je suis conscient que je suis capable de faire beaucoup mieux. Je dois surtout gagner en régularité, c'est mon gros point faible. Mon but est d'être important pour l'équipe et lui faire gagner des matchs. En début de saison, je m'étais fixé un objectif de 10 buts toutes compétitions confondues, et c'est tout à fait réalisable. Mais si je ne marque pas, comme à Toulouse, et que je signe une passe décisive, c'est tout aussi important à mes yeux.
Quel regard portes-tu sur cette dernière ligne droite qui s'annonce palpitante ?
C'est vrai que cela risque d'être serré jusqu'au bout car personne ne veut lâcher du terrain. C'est peut-être une phrase un peu « bête » mais nous prenons match après match car notre championnat est compliqué et ne nous permet pas de voir plus loin. Il nous reste dix matches pour sauver le club. À nous de prendre des points rapidement afin de, pourquoi pas, finir le championnat de façon plus détendue. Pour cela, il nous faut être intraitable à domicile, quelque soit notre adversaire.