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Compte Rendu
Nice 0-0 Lens
Nul logique entre deux formations en panne d'inspiration ce soir au Ray. Nice par Rémy (84è) et Lens par Monnet-Paquet (87è) eurent pourtant des balles de match dans les derniers instants pour remporter la rencontre.A Nice, Stade du Ray, OGC Nice et RC Lens 0 à 0
8.969 spectateurs
Arbitre : M. Moreira
Avertissements : Maoulida, Kovacevic à Lens
Nice : Ospina - Coulibaly, Apam, Civelli, Paisley - Echouafni (c), Faé, Sablé (Diakité, 74è) - Ben Saada (Rémy, 68è), Bagayoko, Mounier (Bamogo, 46è)
Lens : Kasraoui - Sartre, Aurier, Yahia (c), Ramos - Milovanovic, Kovacevic (Hermach, 74è), Monnet-Paquet, Sow - Maoulida (Eduardo, 85è), Boukari (Roudet, 45è)Après avoir mis le turbo en mars avec trois succès consécutifs, les aiglons avancent désormais au ralenti. Usure mentale et physique ? Peut-être. Les difficultés offensives des rouge et noir depuis trois matches montrent également la dépendance des rouge et noir vis à vis de leur meilleur buteur Loïc Rémy, qui a effectué son retour à la compétition en fin de partie après un mois d'arrêt, et aurait même pu être le héros de la soirée à cinq minutes du terme sur un caviar de Coulibaly.
La mauvaise nouvelle de la soirée s'appelle Le Mans. Donnés pour morts le week-end dernier, les manceaux ont engrangé six points en quatre jours et continuent à entretenir l'espoir du côté de la Sarthe. Certes, avec neuf points d'avance à cinq journées de la fin et trois matches à domicile à disputer, l'heure est loin d'être à la panique pour les aiglons. Mais on pouvait espérer que la messe soit dite après la venue du RC Lens. Il faudra attendre... au moins une semaine avec la venue de la lanterne rouge grenobloise.
Face aux sang et or, les aiglons ont finalement montré les mêmes qualités et défauts que depuis 4-5 semaines, si l'on met de côté la seconde mi-temps marseillaise : une solidité défensive qui se confirme, de gros efforts déployés à la récupération, mais aussi un manque de créativité offensive avec un Mamadou Bagayoko dans un rôle ingrat sans suffisamment de soutien.
Si comme nous l'avons souligné plus haut Rémy aurait pu donner la victoire à son équipe à la 84è, il faut être honnête et signaler que le RCL avait lui aussi la possibilité d'arracher la victoire dans une situation similaire, par Monnet-Paquet (87è). Au final, le nul logique entre deux équipes presque sauvées mais pas encore libérées ne contentait personne, sans faire de vrai malheureux. Un coup pour rien quoi...
8.969 spectateurs
Arbitre : M. Moreira
Avertissements : Maoulida, Kovacevic à Lens
Nice : Ospina - Coulibaly, Apam, Civelli, Paisley - Echouafni (c), Faé, Sablé (Diakité, 74è) - Ben Saada (Rémy, 68è), Bagayoko, Mounier (Bamogo, 46è)
Lens : Kasraoui - Sartre, Aurier, Yahia (c), Ramos - Milovanovic, Kovacevic (Hermach, 74è), Monnet-Paquet, Sow - Maoulida (Eduardo, 85è), Boukari (Roudet, 45è)Après avoir mis le turbo en mars avec trois succès consécutifs, les aiglons avancent désormais au ralenti. Usure mentale et physique ? Peut-être. Les difficultés offensives des rouge et noir depuis trois matches montrent également la dépendance des rouge et noir vis à vis de leur meilleur buteur Loïc Rémy, qui a effectué son retour à la compétition en fin de partie après un mois d'arrêt, et aurait même pu être le héros de la soirée à cinq minutes du terme sur un caviar de Coulibaly.
La mauvaise nouvelle de la soirée s'appelle Le Mans. Donnés pour morts le week-end dernier, les manceaux ont engrangé six points en quatre jours et continuent à entretenir l'espoir du côté de la Sarthe. Certes, avec neuf points d'avance à cinq journées de la fin et trois matches à domicile à disputer, l'heure est loin d'être à la panique pour les aiglons. Mais on pouvait espérer que la messe soit dite après la venue du RC Lens. Il faudra attendre... au moins une semaine avec la venue de la lanterne rouge grenobloise.
Face aux sang et or, les aiglons ont finalement montré les mêmes qualités et défauts que depuis 4-5 semaines, si l'on met de côté la seconde mi-temps marseillaise : une solidité défensive qui se confirme, de gros efforts déployés à la récupération, mais aussi un manque de créativité offensive avec un Mamadou Bagayoko dans un rôle ingrat sans suffisamment de soutien.
Si comme nous l'avons souligné plus haut Rémy aurait pu donner la victoire à son équipe à la 84è, il faut être honnête et signaler que le RCL avait lui aussi la possibilité d'arracher la victoire dans une situation similaire, par Monnet-Paquet (87è). Au final, le nul logique entre deux équipes presque sauvées mais pas encore libérées ne contentait personne, sans faire de vrai malheureux. Un coup pour rien quoi...