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Nantes 1-0 Nice : revue de presse
Au lendemain de la défaite des aiglons à Nantes, petit tour d'horizon du traitement de cette rencontre dans vos quotidiens et sur le web.
Un air de malédiction !
A pleurer, si ce n'était pas finalement que du football. D'une reprise de la tête flamboyante, à la 92e, Luigi Pieroni, pour sa première à la Beaujoire a envoyé le Gym plus bas que terre, englué dans sa 19e place, désormais à trois points du premier non relégable.
Image incroyable, tout de même, que celle de Moussilou frappant sur le poteau de Barthez, cinq minutes avant le geste décisif de Pieroni, comme si le vilan sort se démenait ausssi bien sur Moussilou «la-recrue-sans-but» que sur le Gym de Frédéric Antonetti dans son entier.
Car, il ne faut pas se méprendre, quand une équipe ne marque pas, il n'y a rien d'illogique à ce qu'elle s'incline à la fin. Surtout quand elle se met à subir, et à reculer, comme cela a été le cas de l'OGCN dans la dernière demi-heure
(François PATURLE)
Nantes respire
Grâce à leur victoire sur le fil, les Nantais ont abandonné la zone dangereuse. (...)
Dans la situation de Nantes, même nombre de points que le premier relégable avant d?affronter Nice hier soir, il n?y a pas de petite ou de grande victoire. Celle remportée hier, étriquée, arrachée dans le temps additionnel grâce à la détente de Pieroni, le dernier arrivé dans la « maison jaune », vaut pourtant très cher. Parce qu?elle éloigne un concurrent direct et confirme que ce Nantes-là, faute de séduire, sait se montrer solidaire et obstiné
(Guy ROGER)
Pieroni, ce héros
Buteur pour son premier match sous ses nouvelles couleurs, Luigi Pieroni a offert dans les dernières secondes la victoire à Nantes contre Nice (1-0) dans le choc du bas de classement. (...)
Frédéric Antonetti misait d?entrée sur l?attaquant vétéran, Laslandes, venu pour sauver une attaque en difficulté. Mais le meilleur buteur français en activité de L1 a laissé la vedette à son compère en attaque, Koné, qui a mis le feu dans la défense adverse en première période. L?Ivoirien a tout de même été plus en retrait après la pause et a été remplacé par Moussilou en fin de match. L?ancien Lillois n?a touché qu?un ballon, mais a bien failli marquer, sa tentative finissant sur le poteau. Derrière, Apam a beaucoup souffert face à la vivacité de Payet, mais a réussi le plus souvent à contenir le jeune espoir nantais.
(Vincent DUCHESNE)
Signé Pieroni
Un but de la nouvelle recrue belge Pieroni dans les arrêts de jeu a offert un précieux succès à Nantes face à Nice. Le FCNA poursuit sa bonne série et Nice reste relégable malgré une prestation honorable. (...)
Dans ce « sommet » de bas de classement avec deux des plus mauvaises attaques du championnat, les deux formations ont livré une partie sérieuse sur le plan tactique mais souvent peu spectaculaire, excepté un dernier quart d?heure enlevé. Après une entame difficile, les Canaris ont globalement eu la maîtrise du ballon, sans parvenir réellement à mettre hors de position une défense niçoise parfaitement organisée. Ce sont même les Aiglons qui se créent en contre les meilleures opportunités. Dans une seconde période bien plus enlevée et intense avec des lignes distendues, les Canaris accentuent leur emprise et vont trouver l?ouverture dans les arrêtes de jeu grâce à leur recrue belge Pieroni. Cinq minutes avant, les Niçois avaient eu la balle de match par Moussilou?
(Mathieu BAHUET)
L'OGC Nice revient de Nantes à vide
« Un point c?est déjà pas si mal » Plus que quelques secondes de jeu et les supporters niçois massés devant leur poste de télévision venaient de vibrer sur une belle frappe de Matt Moussilou venue malheureusement s?écraser sur le poteau de la cage gardée par Fabien Barthez. Mais c?était sas compter sans ce diable de Pieroni, omniprésent dans le jeu comme dans la surface de réparation niçoise, qui, après s?être parfaitement envolé au dessus de la défense rouge et noire claqua une tête magistrale ne laissant aucune chance à un Hugo LLoris qui ne pouvait, comme ses coéquipiers, que constater les dégâts. (...)
Malchanceux, malheureux... certes le point du match nul aurait été logique sur l?ensemble de cette rencontre mais les dieux du football sont aussi peu
Un air de malédiction !
A pleurer, si ce n'était pas finalement que du football. D'une reprise de la tête flamboyante, à la 92e, Luigi Pieroni, pour sa première à la Beaujoire a envoyé le Gym plus bas que terre, englué dans sa 19e place, désormais à trois points du premier non relégable.
Image incroyable, tout de même, que celle de Moussilou frappant sur le poteau de Barthez, cinq minutes avant le geste décisif de Pieroni, comme si le vilan sort se démenait ausssi bien sur Moussilou «la-recrue-sans-but» que sur le Gym de Frédéric Antonetti dans son entier.
Car, il ne faut pas se méprendre, quand une équipe ne marque pas, il n'y a rien d'illogique à ce qu'elle s'incline à la fin. Surtout quand elle se met à subir, et à reculer, comme cela a été le cas de l'OGCN dans la dernière demi-heure
(François PATURLE)
Nantes respire
Grâce à leur victoire sur le fil, les Nantais ont abandonné la zone dangereuse. (...)
Dans la situation de Nantes, même nombre de points que le premier relégable avant d?affronter Nice hier soir, il n?y a pas de petite ou de grande victoire. Celle remportée hier, étriquée, arrachée dans le temps additionnel grâce à la détente de Pieroni, le dernier arrivé dans la « maison jaune », vaut pourtant très cher. Parce qu?elle éloigne un concurrent direct et confirme que ce Nantes-là, faute de séduire, sait se montrer solidaire et obstiné
(Guy ROGER)
Pieroni, ce héros
Buteur pour son premier match sous ses nouvelles couleurs, Luigi Pieroni a offert dans les dernières secondes la victoire à Nantes contre Nice (1-0) dans le choc du bas de classement. (...)
Frédéric Antonetti misait d?entrée sur l?attaquant vétéran, Laslandes, venu pour sauver une attaque en difficulté. Mais le meilleur buteur français en activité de L1 a laissé la vedette à son compère en attaque, Koné, qui a mis le feu dans la défense adverse en première période. L?Ivoirien a tout de même été plus en retrait après la pause et a été remplacé par Moussilou en fin de match. L?ancien Lillois n?a touché qu?un ballon, mais a bien failli marquer, sa tentative finissant sur le poteau. Derrière, Apam a beaucoup souffert face à la vivacité de Payet, mais a réussi le plus souvent à contenir le jeune espoir nantais.
(Vincent DUCHESNE)
Signé Pieroni
Un but de la nouvelle recrue belge Pieroni dans les arrêts de jeu a offert un précieux succès à Nantes face à Nice. Le FCNA poursuit sa bonne série et Nice reste relégable malgré une prestation honorable. (...)
Dans ce « sommet » de bas de classement avec deux des plus mauvaises attaques du championnat, les deux formations ont livré une partie sérieuse sur le plan tactique mais souvent peu spectaculaire, excepté un dernier quart d?heure enlevé. Après une entame difficile, les Canaris ont globalement eu la maîtrise du ballon, sans parvenir réellement à mettre hors de position une défense niçoise parfaitement organisée. Ce sont même les Aiglons qui se créent en contre les meilleures opportunités. Dans une seconde période bien plus enlevée et intense avec des lignes distendues, les Canaris accentuent leur emprise et vont trouver l?ouverture dans les arrêtes de jeu grâce à leur recrue belge Pieroni. Cinq minutes avant, les Niçois avaient eu la balle de match par Moussilou?
(Mathieu BAHUET)
L'OGC Nice revient de Nantes à vide
« Un point c?est déjà pas si mal » Plus que quelques secondes de jeu et les supporters niçois massés devant leur poste de télévision venaient de vibrer sur une belle frappe de Matt Moussilou venue malheureusement s?écraser sur le poteau de la cage gardée par Fabien Barthez. Mais c?était sas compter sans ce diable de Pieroni, omniprésent dans le jeu comme dans la surface de réparation niçoise, qui, après s?être parfaitement envolé au dessus de la défense rouge et noire claqua une tête magistrale ne laissant aucune chance à un Hugo LLoris qui ne pouvait, comme ses coéquipiers, que constater les dégâts. (...)
Malchanceux, malheureux... certes le point du match nul aurait été logique sur l?ensemble de cette rencontre mais les dieux du football sont aussi peu