Au lendemain du match nul ramené de Nantes, petit tour d'horizon du traitement de cette rencontre par vos quotidiens et sur le Web.

Un bon point avant Bordeaux !
Les Azuréens, appliqués et concentrés, quadrillaient parfaitement le terrain. Un premier quart d'heure maîtrisé, donc, et les Aiglons pointaient encore le bout de leur bec. Un coup franc de Balmont, côté gauche, était à deux doigts de trouver Bagayoko, trop court et tiré par le maillot par Cetto (17). (...)
Encore un pénalty oublié au débit des Niçois, abattus, et les Nantais en profitaient par Da Rocha. Grégorini se couchait parfaitement (50). Ce même Da Rocha, seul aux six mètres, mettait au-dessus. Sentant le danger, Frédéric Antonetti lançait ses deux jokers de luxe, Vahirua et Bellion (57). Un choix ambitieux qui permettait de jouer tous les bons coups. Mais qui exposait les Azuréens aux contres nantais. Grégorini s'illustrait ainsi en s'interposant parfaitement sur les tentatives locales.
(Jean-François MALATESTA)




Un nul et des regrets
Nantes et Nice n?ont pas fait une bonne affaire en se neutralisant. Pour nantais et niçois, l?entredeux se poursuit. Assis sur vingt-sept points, ils ne peuvent se montrer ni tout à fait sereins ? les relégables sontils irrémédiablement distancés ? ? ni vraiment ambitieux ? les Européens ne fraient-ils pas trop loin ? Ils ont donc fait avancer leur petite affaire d?un nouveau nul qui aurait pu combler un OGCN décidément accrocheur à l?extérieur. Le conditionnel est de rigueur. Les Azuréens regretteront surtout un penalty flagrant (le Nantais Bamogo en réclama un contestable, 90e + 2) que M. Cailleux ne siffla pas pour une main évidente de Capoue dans sa surface (49e).
(Jean-Denis COQUARD)




Un nul bienvenu
Comme à l?aller, Nantes et Nice ont partagé les points (0-0) au terme d?une rencontre vive, mais trop brouillonne pour que l?une ou l?autre ne prenne l?avantage. La défaite de Sochaux arrange les deux équipes, solides treizième et quatorzième.
(Vincent GEHIN)




Bonsoir tristesse
Malgré une deuxième période plus enlevée et des situations dangereuses, les Nantais ont buté sur des Niçois bien organisés et un Grégorini inspiré. Après leur point glané à Sochaux, les Aiglons confirment leurs bonnes dispositions à l?extérieur. (...)
On attendait du jeu entre deux équipes rassurées par un matelas de onze points sur le premier relégable. C?est pourtant une entame très frileuse que proposent dans le premier quart d?heure deux formations qui se neutralisent dans l?entrejeu. Les Nantais trouvent peu à peu leurs marques en pressant beaucoup plus haut mais sans la mobilité nécessaire pour déstabiliser le double rideau niçois. Seuls quelques éclairs individuels viennent égayer une première période décevante. Changement de physionomie dans le second acte avec beaucoup plus de rythme et des Canaris qui multiplient les situations dangereuses. Les hommes de Serge Le Dizet dominent copieusement les débats mais butent dans le dernier geste sur un Grégorini inspiré.
(Mathieu BAHUET)




Les Canaris doivent s'envoler par les ailes
Faute de percussion dans l'axe, les Nantais savent pertinemment que leur salut passe par le jeu sur les côtés. Mais face à Nice, ce style en cours de façonnage n'a pas suffi pour enchaîner une troisième victoire consécutive dans la semaine.
(Vincent BESNARD)


fcna.fr (site officiel de Nantes)

Nantes concède le nul voulu par Nice
Pas de but dans le match qui opposait le FC Nantes à Nice, dans le cadre de la 22e journée de Ligue 1. Cadenacée par les Azuréens, la partie s'est résumée en une attaque-défense au cours de laquelle les Canaris ne sont pas parvenus à trouver la faille. Un résultat résultat qui se termine, provisoirement, par un statu quo au classement.
(F.C.)

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