Après-midi insolite pour les Aiglons. Loin du rectangle vert, les joueurs et le staff niçois ont ouvert leur horizon le temps d'une journée sans ballon (de foot). Au menu, une partie de laser-game, un parcours d'accrobranche et un tournoi de basket. L'objectif ? S'aérer l'esprit, tout en resserrant les liens et en travaillant différemment.

Tenue militaire. Voyage à plus de 20 mètres. « Arme-laser ». Duels sur le parquet. Après 3 jours hyper chargés, ce mercredi a laissé place à des activités inhabituelles pour le groupe professionnel. Différentes. Surpris par l'annonce du programme lors du déjeuner, ce dernier a cependant gagné dans la bonne humeur le parc où l'attendait un sympathique programme. Dubitatifs avant de se prendre au jeu, les joueurs se sont rapidement engagés dans une partie de laser-game, opposant deux équipes... qui jurent toutes les deux l'avoir remportée. Preuve que l'esprit de compétition n'est pas resté accroché aux crampons. Pendant « la guerre », les membres du staff – parfaitement équipés – arpentaient un parcours d'accrobranche, dont le pic culminait à plus de 20 mètres d'altitude. « Un bon moyen de se dépasser » comme l'a confié Fred Gioria en pleine escalade...

Mercredi après-midi #commando pour les Aiglons ! Stage à Divonne : jour 5. pic.twitter.com/4HquOME8V5

— OGC Nice (@ogcnice) 8 Juillet 2015

Germain débarque sur le parquet

Quelques « sensations fortes » et tyroliennes plus tard, changement de groupe, le staff prenant les armes et les joueurs voltigeant dans les arbres. Apès une grosse quarantaine de minutes, alors que quelques retardataires terminaient prudemment le périple entre les feuilles, la majorité du groupe prenait la direction du gymnase, pour y disputer un tournoi de basket engagé, où le « jump » de Plea a fait de grandes différences... Une « exhibition » (ponctuée par une belle séance d'étirements) à laquelle a même participé Valère Germain, fraîchement arrivé dans le groupe et déjà sur le pont.

Le point commun de ces trois activités ? L'esprit d'équipe nécessaire pour l'emporter. L'obligation de se serrer les coudes pour avancer. La cohésion transpirant des échanges. Et « la pompe » qui continue, mine de rien, à travailler d'une manière intense.

C.D.

 

 

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