« Le tribunal administratif a considéré hier que nous n'étions pas dans l'urgence... Donc, pour nous, le temps de la polémique est terminé », a expliqué Jean-Pierre Rivère en préambule de la conférence de presse de ce midi.

« C'est un dossier où j'ai un grand regret. Je vais dépasser le regret sportif car bien entendu nous aurions tous aimé avoir Hatem avec nous parce que c'est un très bon joueur. J'ai un vrai regret humain », a poursuivi le président de l’OGC Nice avant de détailler sa pensée.

« Je découvre Hatem depuis un peu plus d'un mois. Et je trouve qu'il n'est pas toujours traité comme il devrait l'être dans les médias. C'est un garçon qui m'a donné sa parole et qui l'a tenue. Il est venu chez nous avec le risque de ne pas être payé, ce qui est son cas aujourd'hui. Et quand je l'ai appelé pour lui communiquer la décision du tribunal administratif son premier réflexe a été de nous remercier pour ce que nous avions entrepris. Humainement ce sont des comportements rares. Et dans le football encore plus. J'ai un vrai regret car je suis persuadé qu'il aurait fait de très belles choses chez nous sous la houlette de Claude. Il se serait épanoui, et on l'aurait découvert sous un autre visage que celui qui est habituellement présenté dans les médias. Donc je le remercie. On verra ce que sera la suite de l’histoire. Il a été notre mascotte pendant quelques matchs. Il sera toujours chez lui ici ».

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