Compte Rendu
St Etienne 2-1 Nice
Enorme déception pour le Gym. Un penalty imaginaire et un but dans les arrêts de jeu de Feindouno sont venus crucifier des aiglons pourtant auteurs d'une bonne prestation. Un point sur neuf face au trois derniers du classement, il faudra se ressaisir rapidement !A St Etienne, stade Geoffroy-Guichard, AS St Etienne bat OGC Nice 2 à 1 (1-1)
27.753 spectateurs
Arbitre : M. Ledentu
Buts : Feindouno (25è pén, 90è) pour St Etienne ; Agali (29è) pour Nice
Avertissements : Garrido, Hellebuyck à St Etienne ; Agali, Varrault, Traoré, Dié à Nice
St Etienne : Janot - Garrido, Hognon (Hernandez, 18è), Z. Camara, Ilunga - Feindouno, Sablé, Hellebuyck, Fr. Mendy (Perrin, 93è) - Marin (Compan, 72è), Piquionne
Nice : Grégorini - Traoré, Cobos, Abardonado, Varrault - Vahirua (Bisconti, 66è), Balmont, Dié (Grenet, 80è), Roudet - Jankauskas, Agali (Linz, 87è)Rageant ! Comme face à Lille, les aiglons s'inclinent à la dernière minute d'un match qu'ils auront pourtant maîtrisé. Comme dans le Nord ils pourront crier à l'injustice. On se souvient également d'une élimination en Coupe de la Ligue à Geoffroy Guichard en janvier dernier avec un Nicolas Marin abusant de l'arbitre. Cette fois-ci c'est Pascal Feindouno qui a obtenu l'oscar du plus beau plongeon. Et M. Ledentu celui du naïf de service. Arrivés à un but partout à la pause alors qu'ils avaient copieusement dominé les débats, les rouge et noir ont reculé en seconde période, avant de craquer sur un coup du sort à l'ultime seconde. Tellement cruel, tellement injuste !
Sur les coups de 17h, alors que le thermomètre affichait 7 petits degrés, c'est un Gernot Rohr pas frileux pour un sou qui lançait une équipe avec quatre joueurs offensifs. Une composition audacieuse qui prenait l'ascendant dès les premières minutes. Roudet lance Vahirua sur la droite qui échappe à l'arrière-garde stéphanoise. En bonne position sur le côté droit, le tahitien croise trop sa frappe face à Janot. Un premier avertissement sans frai pour les stéphanois. Les verts réagissent dans la minute. Sablé tente sa chance de 30m, Grégorini boxe. Sur le contre, Nice obtient un coup franc excentré. Il est tiré rentrant par Vahirua, Traoré au premier poteau devance tout le monde mais place sa tête au-dessus ! On joue depuis à peine six minutes et ça part déjà de tous les côtés.
Tandis que les 1.000 supporters niçois donnent de la voix, c'est l'OGCN qui domine la rencontre et qui impose le rythme. Les verts en sont réduits à placer... des contres, le monde à l'envers ! Sur l'un deux, Frédéric Mendy s'échappe côté gauche avant de servir sur l'aile opposée Nicolas Marin. Dans un angle fermé l'attaquant de poche stéphanois tente sa chance mais ne trouve pas le cadre (10è).
Le jeu est direct, sans temps mort. Agali reprend de la tête un centre tendu de Traoré, de peu au-dessus (13è). Les deux tours de contrôle niçoises, Agali et Jankauskas posent un mal fou à la défense stéphanoise, qui doit par ailleurs modifier ses batteries avec la sortie sur blessure d'Hognon (18è). Les deux géants niçois, souvent dos au but, constituent un point d'ancrage idéal pour permettre au Gym de placer des attaques ciblées.
La simulation de Feindouno
Au plus fort de la domination niçoise, c'est pourtant l'ASSE qui va ouvrir la marque. Suite à une bonne combinaison avec Piquionne, Feindouno prend le meilleur face à Traoré sur le côté gauche de la surface avant de s'effondrer. Penalty désigné par M. Ledentu ! Si à vitesse réelle la faute semble évidente, la simulation apparaît évidente au ralenti. Une honte ! Le guinéen ne s'en soucie pas et transforme en prenant Grégorini à contre-pied (1-0, 25è).
On aurait pu croire les aiglons abattus après ce coup du sort. Ce sont en fait des rouge et noir révoltés qui se jettent à l'assaut du but de Janot. Le ton monte, un début de bagarre générale éclate pour un tacle appuyé de Varrault sur Marin. Calme mais remonté, Victor Agali ne rate pas la chance qui lui est donnée d'égaliser. Décalé par Traoré dans la surface, il place un bolide à ras de terre hors de portée de Janot. Un but partout à la demi-heure, ce n'est que justice !
Peu après cette égalisation Roudet tente de profiter d'une hésitation stéphanoise pour lober Janot, au-dessus (32è). Piquionne à côté (33è) et Feindouno de la tête au-dessus parviennent à passer entre les mailles de la défense niçoise sans pour autant parvenir à tromper Grégorini avant la pause.
Certainement remontés et replacés par Elie Baup à la pause, l'équipe verte apparaît radicalement transformée au retour des vestiaires. Le début de
27.753 spectateurs
Arbitre : M. Ledentu
Buts : Feindouno (25è pén, 90è) pour St Etienne ; Agali (29è) pour Nice
Avertissements : Garrido, Hellebuyck à St Etienne ; Agali, Varrault, Traoré, Dié à Nice
St Etienne : Janot - Garrido, Hognon (Hernandez, 18è), Z. Camara, Ilunga - Feindouno, Sablé, Hellebuyck, Fr. Mendy (Perrin, 93è) - Marin (Compan, 72è), Piquionne
Nice : Grégorini - Traoré, Cobos, Abardonado, Varrault - Vahirua (Bisconti, 66è), Balmont, Dié (Grenet, 80è), Roudet - Jankauskas, Agali (Linz, 87è)Rageant ! Comme face à Lille, les aiglons s'inclinent à la dernière minute d'un match qu'ils auront pourtant maîtrisé. Comme dans le Nord ils pourront crier à l'injustice. On se souvient également d'une élimination en Coupe de la Ligue à Geoffroy Guichard en janvier dernier avec un Nicolas Marin abusant de l'arbitre. Cette fois-ci c'est Pascal Feindouno qui a obtenu l'oscar du plus beau plongeon. Et M. Ledentu celui du naïf de service. Arrivés à un but partout à la pause alors qu'ils avaient copieusement dominé les débats, les rouge et noir ont reculé en seconde période, avant de craquer sur un coup du sort à l'ultime seconde. Tellement cruel, tellement injuste !
Sur les coups de 17h, alors que le thermomètre affichait 7 petits degrés, c'est un Gernot Rohr pas frileux pour un sou qui lançait une équipe avec quatre joueurs offensifs. Une composition audacieuse qui prenait l'ascendant dès les premières minutes. Roudet lance Vahirua sur la droite qui échappe à l'arrière-garde stéphanoise. En bonne position sur le côté droit, le tahitien croise trop sa frappe face à Janot. Un premier avertissement sans frai pour les stéphanois. Les verts réagissent dans la minute. Sablé tente sa chance de 30m, Grégorini boxe. Sur le contre, Nice obtient un coup franc excentré. Il est tiré rentrant par Vahirua, Traoré au premier poteau devance tout le monde mais place sa tête au-dessus ! On joue depuis à peine six minutes et ça part déjà de tous les côtés.Tandis que les 1.000 supporters niçois donnent de la voix, c'est l'OGCN qui domine la rencontre et qui impose le rythme. Les verts en sont réduits à placer... des contres, le monde à l'envers ! Sur l'un deux, Frédéric Mendy s'échappe côté gauche avant de servir sur l'aile opposée Nicolas Marin. Dans un angle fermé l'attaquant de poche stéphanois tente sa chance mais ne trouve pas le cadre (10è).
Le jeu est direct, sans temps mort. Agali reprend de la tête un centre tendu de Traoré, de peu au-dessus (13è). Les deux tours de contrôle niçoises, Agali et Jankauskas posent un mal fou à la défense stéphanoise, qui doit par ailleurs modifier ses batteries avec la sortie sur blessure d'Hognon (18è). Les deux géants niçois, souvent dos au but, constituent un point d'ancrage idéal pour permettre au Gym de placer des attaques ciblées.La simulation de Feindouno
Au plus fort de la domination niçoise, c'est pourtant l'ASSE qui va ouvrir la marque. Suite à une bonne combinaison avec Piquionne, Feindouno prend le meilleur face à Traoré sur le côté gauche de la surface avant de s'effondrer. Penalty désigné par M. Ledentu ! Si à vitesse réelle la faute semble évidente, la simulation apparaît évidente au ralenti. Une honte ! Le guinéen ne s'en soucie pas et transforme en prenant Grégorini à contre-pied (1-0, 25è).
On aurait pu croire les aiglons abattus après ce coup du sort. Ce sont en fait des rouge et noir révoltés qui se jettent à l'assaut du but de Janot. Le ton monte, un début de bagarre générale éclate pour un tacle appuyé de Varrault sur Marin. Calme mais remonté, Victor Agali ne rate pas la chance qui lui est donnée d'égaliser. Décalé par Traoré dans la surface, il place un bolide à ras de terre hors de portée de Janot. Un but partout à la demi-heure, ce n'est que justice !
Peu après cette égalisation Roudet tente de profiter d'une hésitation stéphanoise pour lober Janot, au-dessus (32è). Piquionne à côté (33è) et Feindouno de la tête au-dessus parviennent à passer entre les mailles de la défense niçoise sans pour autant parvenir à tromper Grégorini avant la pause.
Certainement remontés et replacés par Elie Baup à la pause, l'équipe verte apparaît radicalement transformée au retour des vestiaires. Le début de
