L'ancien attaquant et coach du Gym prendra place sur le banc de l'adversaire valenciennois, dimanche, pour l'inauguration de l'Allianz Riviera. Présent à la der' du Ray, il estime que le contexte peut être favorable au Gym... ou inhibant.

Daniel, vous étiez présent à la der' du Ray...
C'était sympa. L'ambiance était bonne, les animations belles... Juste ce qu'il fallait. J'ai retrouvé des anciens que je vois assez régulièrement comme Jouve, Castellani, Bocchi, Grava... Mais aussi d'autres que je n'avais plus vu depuis un moment : Bjekovic, Langers ou Djelmas.

Comme un symbole, vous serez le premier adversaire du Gym à l'Allianz Riviera...
Vu mon passé, c'est un joli clin d'oeil. Une inauguration est rarissime. Mais en l'espace de deux ans, j'aurai eu la chance de vivre celle du Hainaut et de l'Allianz Riviera.

Un contexte particulier pour votre équipe ?
Le stade sera plein, les Niçois voudront bien débuter face à nous. Mais il ne faudra pas en tenir compte. D'autant que la situation peut être à double tranchant : la première dans leur stade peut les stimuler, comme les inhiber.

Votre mission : gâcher la fête ?
Nous voulons surtout prendre des points car nous en avons besoin. Nous nous motivons pour nous ; pas contre l'OGC Nice. Nous venons pour déployer notre jeu, tout donner.

Votre début de saison ?
Compliqué, pour l'instant. Un mauvais départ n'est jamais appréciable mais je reste confiant, car nous travaillons dur. Nous allons nous battre toute l'année pour atteindre notre objectif de maintien. Il y a deux ans, nous avions également mal démarré avant de bien rectifier le tir. 

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