Réaction
Fredy Fautrel : « Pas aidés par la vidéo »
L'arbitre Fredy Fautrel a accepté de revenir sur l'action litigieuse qui a amené le premier penalty de Monzon, juste avant la pause.
« Les images montrent je crois que l'action n'est pas litigieuse et la main du joueur ajaccien est nette. Il aurait été mieux que je le vois dès le départ ce qui aurait évité le quiproquo. Mon quatrième arbitre, William Lavis, me dit aussitôt dans l'oreillette qu'il y avait une main, sans s'aider de la vidéo. Qui dit anéantissement d'une action de but dit penalty et carton rouge. Le problème c'est que nous n'avions pas le numéro du joueur incriminé, nous avions juste vu que c'était un joueur de petite taille, mais ils sont 3 dans l'équipe ajaccienne ! J'ai convoqué le capitaine ajaccien (en présence du capitaine niçois) en lui expliquant que nous étions certains qu'il y avait main et en lui demandant le numéro du joueur, ce qu'il n'a pas voulu faire. Idem pour l'entraîneur ajaccien en présence d'Eric Roy. Avec mon assistant nous avions remarqué que Cavalli défendait au poteau sur les corners, je l'ai interrogé il m'a dit qu'il était sur la ligne mais n'avait pas touché de la main. Comme nous avions l'identité du joueur incriminé, j'ai pris la décision de l'exclure. »
« Les images montrent je crois que l'action n'est pas litigieuse et la main du joueur ajaccien est nette. Il aurait été mieux que je le vois dès le départ ce qui aurait évité le quiproquo. Mon quatrième arbitre, William Lavis, me dit aussitôt dans l'oreillette qu'il y avait une main, sans s'aider de la vidéo. Qui dit anéantissement d'une action de but dit penalty et carton rouge. Le problème c'est que nous n'avions pas le numéro du joueur incriminé, nous avions juste vu que c'était un joueur de petite taille, mais ils sont 3 dans l'équipe ajaccienne ! J'ai convoqué le capitaine ajaccien (en présence du capitaine niçois) en lui expliquant que nous étions certains qu'il y avait main et en lui demandant le numéro du joueur, ce qu'il n'a pas voulu faire. Idem pour l'entraîneur ajaccien en présence d'Eric Roy. Avec mon assistant nous avions remarqué que Cavalli défendait au poteau sur les corners, je l'ai interrogé il m'a dit qu'il était sur la ligne mais n'avait pas touché de la main. Comme nous avions l'identité du joueur incriminé, j'ai pris la décision de l'exclure. »
