Le démarrage avait été "historique". La suite, ces dernières semaines, fut à l'avenant. Tant et si bien qu’au bout d’un petit mois de campagne, la barre des 10.000 « encartés » (en grand public et hospitalités) est déjà franchie. Un chiffre rond et symbolique. Il traduit ferveur et enthousiasme. C’est 25% de plus que l’an passé à pareille époque, et alors que la commercialisation avait débuté plus tôt.

La qualité du jeu pratiqué par les Aiglons de même que la constance du projet accréditée par les renouvèlements de Lucien Favre et Mario Balotelli mais aussi les recrutements des prometteurs Lees-Melou, Makengo et Tameze dès les premières semaines du mercato sont des arguments qui portent. D’autant que les tarifs n’ont pas été revus à la hausse. Le 1er prix à 133€ (soit 7€/match) demeure l’un des plus bas de Ligue 1. Et il concerne désormais davantage de sièges dans l’Allianz Riviera, en Ray comme en Populaire Sud (dont le 2e anneau affiche complet depuis mercredi).

Mais ce n’est pas tout. « Nos matchs durent bien plus que 90 minutes », rappelle la campagne de communication lancée par l’OGC Nice début juin. « Toutes les animations mises en place tout au long de la saison dernière ont aussi fait évoluer l’expérience spectateur les jours de match. Elles ont permis de fidéliser les anciens abonnés et d’en attirer des nouveaux », assure le responsable billetterie du club, Olivier Renaudo.

Avec déjà plus 10.000 abonnés et alors que la vente n’est appelée à se terminer qu’à la fin du mois d’aout, le cap des 12.500 cartes écoulées l’an dernier est désormais en ligne de mire.

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