Coachs

Entre passionnés, il n'existe qu'un langage

Partenaire de l’OGC Nice et de l'association italienne des entraîneurs, MyCoach a mis sur pied avec le club une rencontre inédite ce mardi. Soixante éducateurs transalpins ont assisté à l'entraînement de mardi depuis les premières loges avant de partager un moment privilégié avec Lucien Favre.

Sous le soleil de Charles-Ehrmann, soixante éducateurs de l'association italienne des entraîneurs de football (AIAC) ont vécu la première séance de la semaine depuis le bord du terrain. Ils ont observé avec attention l'enchaînement d'exercices concoctés par Lucien Favre et expliqués en direct par son adjoint Adrian Ursea. Avec un œil – forcément – aimanté par leur compatriote Mario Balotelli.

L'immersion s'est prolongée à l'Allianz Riviera. Plus exactement dans l'amphithéâtre du Musée National du Sport. Survêtement et chrono au vestiaire, le technicien roman a décortiqué sa séance au gré des questions de l'assemblée. Mais aussi son parcours, vivement applaudi. Lancé sur sa perception des différents footballs européens, la formation ou encore l'importance de la connexion avec le monde « réel », Lucien Favre a disserté sans compter. Entre passionnés, avec pour langage celui – universel – du football.

« Nous partageons avec notre partenaire MyCoach cette idée d’échange et de transmission de savoir », souligne Virginie Rossetti, directrice de la communication de l’OGC Nice.

« A Nice, nous avons des valeurs communes avec le foot italien. La même façon de concevoir le football, la même ferveur, la même passion populaire. La présence cette saison de Mario ne fait qu’accroitre le lien qui nous lie avec le football transalpin. Un lien symboliquement accentué par le lancement d’un compte twitter exclusivement en italien ».

L'heure d'échange écoulée, les passionnés ont été initiés à l'utilisation logiciel MyCoachFootball puis visité l'Allianz Riviera avant que le plus heureux d'entre eux ne remporte le maillot de Super Mario.

Partenaire de l’AIAC depuis l’an dernier, l’outil numérique made in Nice s’installe progressivement dans les vestiaires transalpins en proposant un accès à son application aux 18 000 coaches membres de l’association.