Guingamp - Nice

Pour l'éternité...

Six mois après le dernier voyage au Roudourou, le Gym s'apprête à retourner à Guingamp, pour défier l'En Avant en pleine semaine. Six mois après, une saison en a chassé une autre. Certains visages sont partis, d'autres sont arrivés. Les temps ont changé mais n'effacent pas le souvenir d'une magnifique soirée, conclue par une victoire niçoise (3-2). Petit retour sur ce bout d'histoire récente à travers 10 clichés d'un voyage pour l'éternité.

Avant de baisser le rideau, le dernier 11 titulaire 2015 / 2016 prit la pose en bloc. Les rangs serrés et avec une belle pensée pour deux Aiglons blessés : Max Le Marchand et Mika Le Bihan.

 

Après le portrait de famille, place au jeu. Face à des Guingampais solides, les Rouge et Noir, vêtus de blanc, furent mis sur la voie par un enroulé délicieux d'Alassane Plea. Le début d'une rencontre riche en rebondissements...

 

Bien en place, les Aiglons sortirent une belle partition collective. Celle-ci fut une nouvelle fois sublimée par Hatem Ben Arfa, créateur-détonateur au pied gauche explosif. Le dernier match du meneur de jeu à Nice.


Ce qui fut également le cas pour Claude Puel. Après 4 saisons passées au club, l'ancien entraîneur général prit la direction de Southampton et de la Premier League à l'été 2016, laissant derrière lui des Aiglons qualifiés pour les phases de poule de l'Europa League après une somptueuse 4e place finale.

 

Face à eux, les Azuréens trouvèrent des Bretons partis pour vendre chèrement leur peau. Guingamp revint dans la partie par l'intermédiaire de Mevlut Erding. Mika Seri remit les siens sur le droit chemin, juste avant la pause...

 

... Ce qui eut le mérite de faire exploser de joie les supporters niçois ayant fait le déplacement en nombre !

 

Après une nouvelle égalisation guingampaise, sur un csc malheureux de Romain Genevois, Alassane Plea mit un terme définitif au suspense, en ouvrant son pied pour délivrer tout Nice. La messe fut dite d'une belle manière.


Dans les vestiaires du Roudourou, les joueurs pouvaient exulter...

... Tout comme les supporters niçois restés au pays, qui réservèrent un magnifique accueil à leur équipe. Quelle belle et longue nuit !