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Gouiri : « Toujours persévérer »

Très sollicité depuis le début de la saison (28 rencontres disputées), Amine Gouiri est l'Aiglon le plus utilisé après Walter Benitez. A la veille du choc contre le Paris Saint-Germain (coup d'envoi ce samedi à 17h), le joueur niçois s'est exprimé en conférence de presse vendredi. 

Buteur à onze reprises cette saison (toutes compétitions confondues), le canonnier a gardé le silence entre la 20ème et la 24ème journée, avant de retrouver le chemin des filets face au SCO, en toute fin de partie (3-0, 84'). En fermant son pied devant Bernardoni, Amine s'est offert un épilogue qui lui correspond bien. Celui d'un attaquant qui, même quand la réussite le fuit, ne lâche jamais rien, du début à la fin. « J’ai eu une période compliquée. Je savais que ça allait arriver dans la saison et qu’il me faudrait continuer à travailler à l’entraînement. Maintenant, je me sens mieux », a-t-il reconnu devant les médias.

Avant de poursuivre : « Aujourd’hui la roue a tourné et c’est à moi de poursuivre comme ça. Le but contre Angers m’a fait du bien. On ne peut pas être performant à chaque match mais il faut toujours persévérer. »

Le passé récent évoqué, l'ancien Lyonnais s'est projeté sur l'avenir proche. En l'occurrence un déplacement à Paris, qu'il attend avec appétit : « On souhaite aller chercher un résultat au Parc. On est ambitieux, on y va pour gagner, on en est capables. »

Ce qu'en pense Adrian Ursea

A la veille de PSG - Nice, Adrian Ursea a succédé à Amine Gouiri en conférence de presse. En livrant son regard sur le rôle de son n°11 dans l'équilibre rouge et noir. 

« J’ai réfléchi à le laisser au repos. Il n’était pas programmé pour jouer autant. Initialement il devait être la doublure de Kasper, mais on s’est très vite aperçus qu’il pouvait jouer à un autre poste. Il a démarré le championnat en force et a inscrit de nombreux buts. Je le vois quotidiennement à l’entraînement, malgré sa période creuse (avant Angers), il s’est toujours très bien entraîné, et n’a cessé de vouloir progresser. Tout cela m’amène à penser qu’à l’heure actuelle je ne peux pas le sortir du 11. Malgré tout, j’essaye de gérer son temps de jeu ; en le faisant sortir à la 60ème minute contre Nîmes par exemple. »


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