Témoignages

« Quand Papa m'a emmené au stade... »

Il y a des moments qu'on ne pourra jamais oublier. Des moments où, quel que soit notre âge, on se souvient de chaque détail comme si c'était hier. Le bruit, l'odeur, la température, la ferveur... Toutes ces premières sensations, vous les avez - pour la plupart - vécues avec votre père, lorsqu'il vous a présenté votre "premier amour". À l'occasion de la fête des pères, vous avez été nombreux à nous raconter ce jour où vous avez pris pour la première fois le chemin du stade avec votre papa. Parfois drôles, toujours touchants, vos témoignages ont inondé de passion les réseaux sociaux. En voici un petit florilège.

Juin 1948. C'est l'histoire la plus ancienne qui nous a été rapportée. Sur Facebook, Gérard Chiurchi nous a raconté sa « 1ère fois au stade Léo Lagrange. Nice allait accéder à la première division la saison prochaine. J'avais 3 mois et j'étais dans un couffin. Mes parents avec tous les supporters fêtaient la remontada en D1 ».

« Michocos et hot-dog moutarde à la mi-temps »

Voisine du stade du Ray, Fabienne Nègre « marchait à peine à 12 mois » lorsqu'elle a suivi son géniteur, en 1973. Une décénnie plus tard, Sandy Nissarte arpentait la tribune Nord : « Je me souviens qu'à chaque mi-temps j'avais droit à mon paquet de michocos et mon hot-dog moutarde. Merci papa pour m'avoir donné l'amour du Gym » sourit-elle encore aujourd'hui.

Depuis le Brésil, Claudemarielouis Giletta a débuté par les sommets, puisqu'il a profité, à 7 ans, de l'année du titre (1955-56). Autre époque, mais même extase pour le fils de Fred Checconi, qui a débuté sa carrière de supporter par le derby victorieux face à Monaco en mars dernier (2-1). Son successeur perché sur ses épaules, Pascal Jacquesson lui a fait découvrir le Ray juste à temps : pour la der' face à Montpellier (2-2). Un stade où Andrea a débuté par une soirée de folie, avec la victoire 2-1 face au PSG d'Ancelotti. Tout le contraire de Thomas, présent avec son fiston pour assister à la débâcle contre Caen en 2011, en pleine lutte pour le maintien (0-4). « Depuis il nous a vu gagner heureusement », s'amuse-t-il.

« J'ai fait découvrir l'Allianz à mon papa »

Parfois, la passion se transmet dans l'autre sens. C'est notamment le cas de Loïck Blouet, pour qui « l’un de (ses) meilleurs souvenirs avec le Gym, c’est d’avoir fait découvrir le stade Allianz Riviera à (son) Papa qui en était ressorti comblé de joie ! »

Enfin, d'heureux jeunes papas attendent, plus ou moins patiemment, d'emmener leur enfant à l'Allianz Riviera. C'est notamment le cas de Cédric Sperenza« Vivement la reprise pour la première de ma fille dans ce stade (...). Ma plus grande fierté en ce jour de fête c'est qu'elle aime son équipe rouge et noir comme son papa et son grand-père. Comme lorsque mon père m'a amené au Ray direct en BSN ». Même objectif pour Morgan Lo « Bébé a 10 mois on va attendre encore un peu mais on viendra vite ! »

En attendant de voir toute la famille à nouveau réunie, l'OGC Nice souhaite une belle et heureuse fête des pères à tous ses supporters, en ayant une pensée affectueuse pour ceux qui nous ont quittés.

Rejoignez-les ! 

Vous aussi, partagez votre passion du Gym sur les réseaux sociaux. Directs, stories, vidéos, photos, et contenus exclusifs vous attendent sur les comptes officiels Twitter, Facebook et Instagram du club.

Instagram 

Facebook 

Twitter 

F. Hill