Le Point rose et l’OGC Nice ont organisé la 2e « Aprèm’ Chamallow » au Musée National du Sport, en marge de la rencontre face à l’AJ Auxerre. 

« Il y a des familles dont les papas et les garçons ont visité le musée pendant que les mamans et les petites filles étaient sur les ateliers créatifs, ensuite ils se sont réunis pour voir le match. Tout le monde a pu passer un bon moment. C’est le plus important ». Présidente de l’association Le Point rose, Nathalie Paoli a décrit avec justesse l’esprit de la deuxième « Aprèm’ Chamallow », qui s’est déroulée mercredi 31 octobre, au musée National du Sport, en marge de la rencontre face à Auxerre.

Créée en 2015, l’association accompagne les enfants en fin de vie, épaule les familles dans " l’acceptation de l’inacceptable " et les aide dans leur reconstruction. Partenaire du Gym pour la 4e saison consécutive, elle s’affichait au dos des Aiglons lors des campagnes européennes, donnant « une résonance encore plus forte » à la cause qu’elle défend. Malgré l’absence d’Europa League, la collaboration avec le Gym ne cesse de se renforcer, ce qui s’illustre à travers de nombreux événements menés, de concert, tout au long de l’année.

La 2e « Aprèm Chamallow » a également permis à l’association de présenter l’ouvrage " I de Lymphome ", réalisé par Rosalia Gatseva, « l’une des mamans du Point Rose, précise Nathalie Paoli. Il est important car elle a commencé à l’écrire au chevet de son enfant hospitalisé à Nice et elle l’a accompagné jusqu’au bout avec ce rêve, cette promesse même, d’éditer un jour un recueil de ses poèmes et de ses dessins. Nous l’avons accompagnée dans la réalisation de ce livre. Nous avons eu l’occasion d’organiser cette journée autour de cette oeuvre, de créer des activités pleines de vie, pleines de joie, mais aussi de la mettre en valeur ».

La journée s’est achevée par la victoires des Rouge et Noir en Coupe de la Ligue, face à Auxerre (3-2), une rencontre avec Yoan Cardinale, parrain de l'association...

... Et la promesse que, derrière le sport, chacun se retrouvera très vite pour continuer à « vivre des émotions à la fois simples et profondément thérapeutiques ».

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