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Les chiffres du redressement

Avec 6 victoires et 2 nuls de rang, le Gym traverse actuellement une période faste en championnat. La meilleure des 20 écuries composant l’élite, pour être précis. Zoom sur les chiffres du redressement.

Au niveau des points, ça brûle

Au petit trot lors des premières semaines, les Aiglons ont « lâché les chevaux » depuis le succès à Toulouse (2-1, le 29 novembre). L’accélération s’observe d’une manière flagrante au tableau de marche, où l’équipe, qui flirtait avec la zone rouge, est parvenue à revenir à hauteur du 5e de la L1 (Nantes).

Depuis 8 journées, la bande à Seri tourne à 2,5 points par match. Elle grappillait, en moyenne, 1 unité par sortie lors des 14 premières journées. A titre comparatif, la cuvée précédente, à l’occasion d’une saison 2016/2017 historique (achevée à la 3e place), avait tenu 38 chapitres à une allure démentielle de 2,05 points par match...


Une clef nommée solidité

Plusieurs facteurs expliquent le redressement rouge et noir. En haut de la liste figure un bloc (re)devenu mur. Là encore, les chiffres parlent. Fort. Avec un accent rassurant. Ce qui était l’une des grandes (des immenses) forces du groupe de l’an passé (0,9 but par match sur l’ensemble de la saison, 3e défense de France) s’est de nouveau imposé comme l’une des certitudes de l’effectif actuel.

Durant les 8 dernières journées, les Aiglons ont encaissé 6 buts, soit 0,75 par match. En bouclant, au passage, 3 « clean sheets ». Ils avaient concédé 25 buts lors des 14 premières journées (1,8 / match) ...


devant, le retour de flamme

S’ils demeurent plus solides, les Rouge et Noir font également preuve d’une efficacité accrue dans la zone de vérité adverse. Alors qu’ils avaient inscrit 15 buts durant les 14 premières étapes du championnat, ils en ont planté 13 durant les 8 suivantes. Ce qui a fait grimper leur moyenne à 1,6 but/match, dans la droite ligne de la saison passée (1,7).

A noter que, depuis le début de l’exercice, le Gym a fait trembler les filets adverses à 28 reprises, et possède la 6e attaque de L1.

C.D.