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Mario se livre dans Nice-Matin

A la veille du déplacement au Parc des Princes, « King Mario » a longuement pris la parole dans Nice-Matin. Sa vision du Gym, son rapport au club, son aura, son parcours, sa personnalité... : la star italienne, interrogée par William Humberset et Vincent Menichini, a livré ses vérités durant une bonne heure. Pour un résultat passionnant, étalé sur 4 belles pages.

Morceaux choisis.
 

 

La crise ?

" La crise, non ! (sourire en coin) On a perdu quelques matchs… Contre Marseille, si nous ne prenons pas le premier but aussi vite, je suis convaincu que l’on gagne. Contre Montpellier, Alassane et moi avons une énorme occasion. Si je marque, on ne perd pas. La Lazio, si je marque sur l’action où je dribble le gardien mais que je frappe à côté, on ne perd pas ce match. Il faut un peu de chance, parfois. Si tu gagnes contre la Lazio, ça change tout. Si tu gagnes contre Marseille, ça change tout aussi. Ce sont les particularités du foot, parfois ça ne s’enchaîne pas comme tu l’imaginais".

 

 

Les supporters

"Dans me clubs précédents, une situation sportive comme la nôtre ne se serait jamais aussi bien passée. Là, contre Strasbourg, alors qu’on a très mal joué et perdu un match qu’on ne doit jamais perdre, les supporters étaient toujours derrière nous, chantaient, applaudissaient. Avoir un virage comme ça, c’est magnifique".

Son rôle

"Je sens qu’on compte sur moi. J’ai de grandes et belles responsabilités vis-à-vis de mes coéquipiers. Je me suis rendu compte que lorsque je m’énerve sur le terrain, ça n’apporte que des choses négatives à l’équipe. Même lorsque je ne suis pas dans un bon jour, je m’efforce de rester tranquille, d’encourager mes coéquipiers. Je perdais beaucoup trop d’énergie à me disputer avec un défenseur ou à râler quand une décision ne me convenait pas. J’ai commencé à changer de comportement lors de ma dernière année à Milan".

Retrouvez l’intégralité de l’entretien de Mario Balotelli dans le Nice-Matin du jour.