Réaction

Favre : « Une première mi-temps exceptionnelle »

En conférence de presse, Lucien Favre est revenu sur la prestation de son équipe face à Toulouse (1-1). L'entraîneur niçois a notamment salué le jeu pratiqué par ses Aiglons, très en vue lors du premier acte.

Coach, quelle est votre analyse sur ce match nul obtenu à Toulouse ?
C’est dommage, car nous avons réalisé une première mi-temps de très haut niveau. C’est l’une des plus belles mi-temps que je n’ai jamais vues, car on les as déplacés au niveau du jeu. C’est là qu’on doit marquer, mais on manque les opportunités. On doit mener 2 à 0 à la mi-temps sans discussion. Mais c’est comme ça.

Au cours de cette première période, vous auriez pu obtenir un penalty (lorsque Valentin Eysseric a été accroché à la 37e)...
Je ne peux pas vous dire. Du banc il me semble qu’il y a penalty. Après, il faut voir les images.

Après leur but, avez-vous trouvé les Toulousains plus dangereux ?
Ils ne sont pas revenus. Ils ont été plus dangereux sur contre, quand nous poussions pour mettre le 2e. Ils ont de sacrés bons joueurs, ce n’est pas illogique.

« donner notre maximum »

Le Gym s'est à nouveau retrouvé mené...
Mais ce qui compte, c’est qu’on joue bien. On a fait une première mi-temps exceptionnelle. On a pris du plaisir sur le banc, c’était fantastique. Il y a surtout des points positifs à retenir aujourd'hui. 
On fait de notre mieux. Ce n’était pas facile à Toulouse, qui avait battu Paris et Monaco ici. On s’est créé assez d’occasions pour gagner, mais voilà.

Maintenant, place à la réception du PSG (match le dimanche 30 avril à 21h)...
Ça sera un gros match. On aurait aimé gagner aujourd’hui, ça aurait changé la donne. Mais quoiqu’il arrive on va continuer de donner notre maximum à chaque rencontre, c’est le plus important. On travaille, et on va essayer d’améliorer ce qu’il nous a manqué pour remporter les 3 points aujourd’hui.

Que pensez-vous du train d'enfer mené par Monaco et Paris ?
Ce rythme, on le maintient très bien depuis quelques temps, à part en janvier et février où nous étions affaiblis. Ce sont 2 équipes qui ont démontré qu’elles étaient de grosses cylindrées.