Réaction

Cardinale : « Une saveur particulière »

À l'issue de la rencontre face à Montpellier (victoire 2-1), Yoan Cardinale s'est présenté face aux médias. Le portier niçois s'est félicité du dénouement de la rencontre, qui permet au Gym de s'accrocher au wagon de tête, à 11 journées du terme du championnat.

Yoan, quel bilan peux-tu tirer de cette rencontre ?

Elle va énormément compter. Chaque victoire est importante mais celle-là a un goût particulier, au vu du scénario. Être mené jusqu’à la 68e et gagner 2-1 à la fin, c’est une bonne chose pour tout le groupe. Et on est très contents pour Mickaël Le Bihan, qui inscrit 2 buts pour son retour. On va pouvoir regarder les concurrents directs jouer ce week-end depuis notre canapé.

Montpellier a trouvé le poteau dans les tous derniers instants. Pour gagner, il faut aussi un peu de réussite ?

Ça fait toujours du bien de voir que même que quand on est battus, il y a quelqu’un pour vous sauver. Là, c’était le montant, à la 93e. On espère que ce brin de chance ne nous quittera pas jusqu’à la fin de saison.

« On ne laisse pas beaucoup de points en route »

Alors qu'il reste seulement 11 journées, le Gym semble tenir la cadence...

On essaye de répondre présent chaque semaine. On s’accroche, comme on peut. En ce moment nous traversons une période difficile mais nous ne laissons pas beaucoup de points en route. On engrange, et on va essayer de continuer dès samedi prochain à Dijon (match à 20h).

C'est déjà votre 17e victoire en 27 matchs...

Autant que ça ? C’est beaucoup. Mais il ne faut pas s’arrêter là. Nous allons essayer d’aller en chercher encore d’autres pour finir le plus haut possible.

« On dédie cette victoire à Alassane »

Que penses-tu du retour de Mickaël Le Bihan ?

Il ne pouvait pas rêver mieux pour son retour. Rentrer à une demi-heure de la fin, et planter 2 buts sur ses 2 frappes... C’est tout simplement magnifique. Il ne faut pas non plus oublier Alassane Plea. On lui dédie cette victoire, car on aurait aimé qu’il soit parmi nous pour partager ce moment. Un gros bisou, Lass !