Interview

Les premiers mots de Carlos Eduardo

Quelques heures avant l'issue du mercato, bouclé à minuit, l'OGC Nice a enregistré l'arrivée du milieu brésilien, prêté par le FC Porto. Un garçon qui ne cache pas sa joie et sa détermination en ralliant la maison rouge et noire.

Pourquoi l'OGC Nice ?
C'est un club structuré, avec une certaine renommée en France. Je voulais vraiment venir en Ligue 1, plusieurs clubs m'ont témoigné leur intérêt mais j'étais déterminé à rejoindre Nice. A Fluminense, j'ai côtoyé Adeilson (attaquant du Gym entre 2009 et 2011,ndlr) qui m'a dit beaucoup de bien du Gym.

Que sais-tu du Gym ?
Je connais plutôt bien le championnat français. Depuis que j'ai rejoint l'Europe, je regarde beaucoup d'images de la Ligue 1. Du coup, je connais Paris, Marseille, Lyon, Saint-Etienne, Lille... et Nice !

Tes qualités ?
Je pense être un joueur assez technique, à l'aise balle au pied, notamment sur les coups de pied arrêtés. Je peux beaucoup travailler offensivement et défensivement.

Ton poste ?
Je suis un numéro 8, milieu relayeur. J'aime partir de derrière, me projeter, frapper au but...

Quels sont tes objectifs ?
Les mêmes que ceux de l'équipe. Je veux juste aider l'OGC Nice. Et si le club atteint ses ambitions, alors ma mission est remplie.

Ta venue tardive, le dernier jour du mercato, t'a-t-elle inquiété ?
J'avais très envie que ça se fasse. J'ai insisté auprès de mon agent. S'il y avait une possibilité que je rejoigne Nice, je voulais qu'elle se concrétise. J'ai peu dormi ces dernières heures, j'ai enchaîné les tests médicaux et physiques mais l'essentiel est là : je suis Niçois.

Nice, un air de Copacabana ?
C'est joli, oui (rires). Et pour être honnête, je n'aime pas la plage ! Je ne suis pas venu pour le cadre de vie mais pour le projet sportif.

Que sais-tu dire en français ?
« Bonjour ! », « Ça va ? », « bien ? », « très bien ! » (rires)

Y.F.

Merci à Everson, le plus Niçois des Brésiliens, interprète d'un jour. Obrigado amigo !